Mon grand-père Amable par qui tout arrive
« Ni bon vin, ni bon monde » C’est le dicton du village où je suis né : Combronde …»
Ce n’est donc pas là que m’est venue la vocation. Pourtant, c’est ici que mon grand-père Amable, très bonne personne (il faut se méfier des dictons !), a « vannié ma berte » en osier et l’a remplie de la lourde vendange.
Je me rappelle de sa vigne déjà en syntropie avec fraisiers et asperges aux pieds des ceps. Dédé et Josette, mes parents, très occupés par leurs métiers d’accouveurs de petits poussins m’ont inculqué deux principes : finir ce qu’on commence et le faire bien.
Papa, menuisier de métier, amoureux du bois m’a appris l’application, le respect de la matière et à être précis pour que « ça tombe pile en face » !